Direct ce jour par téléphone avec Marion du B, un pur produit du sud-ouest (Tyrosse), produit essentiel, rajouterais-je, car ses livres sont le reflet de la vie qu’elle mène.
Son avant dernier, ‘Les Banalités extraordinaires’, c’est la mort vu autrement, dans la tête (dit-elle) de l’hypersensible qu'elle est, pour un témoignage décalé, bouleversant, sur le deuil.
Pourquoi cet ouvrage ? Pour faire voler en éclats les tabous et les silences pudiques ? Sans filtre. On parle donc de témoignage à cœur ouvert pour surmonter un vide sidéral lors de disparition. Cette résilience dont elle parle, elle l'a atteinte.
C’est habituel chez elle, l'auteure en question se reconstruit par le rire, thérapie positive qui l'aide à avancer. Peut-on rire de tout ? Apparemment oui.
Marion se dit issue d’une génération blessée mais pleine d’optimisme. Comment vit-elle cette période anxiogène ? Vous entendrez sa réponse.
Particularité la concernant, elle a monté votre propre maison d’édition, héroïne le plus souvent de ses romans, en format audio lus par elle… mais… quand dort elle ? Finalement, elle aurait dû faire thérapeute !
Vivre pour Marion, c’est une chance. Pour quelle définition du bonheur la concernant ?. Elle parle de lui comme un objectif, mais n’est-ce pas tous les heureux moments qu’on amasse qui le défini ?
On rappelle ses différents ouvrages… il y a ‘Je suis tombée amoureuse de lui le jour où je l’ai quitté’… et bien d’autres…
Dernière question pour Marion : ‘Est-ce qu'elle ne se pose pas trop de questions ? Si, bien sûr, nous a-t-elle répondu en riant !
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