Ne dit-on pas que la musique est le refuge de l’âme, sa plus belle partition…?
Comment par une telle définition ne pas alors comprendre la deuxième naissance de Jayka. Parlons ici, pour elle, de mise au monde officielle, de l’accouchement d’une auteure, compositrice et interprète qui, au fil des mois et malgré son jeune âge se révèle à elle-même, telle qu’elle.
Une révélation qui lui autorise de poser des mots sur ses blessures, pour les faire chanter via son clavier ou sa guitare, son ukulele dès sa prime enfance.
Mais que traduisent ces échos ? Peut-être ceux de bruits trop souvent restés sourds hormis pour ses amis les animaux en qui elle accorde (avec sa mère) une pleine confiance. Une évidence.
Scolarisée à domicile, Eva (alias Jayka) créée pour être aujourd’hui mieux entendue, par le biais de poèmes mis en musique, des vers ‘phrasés’ qui agrémentent son ‘aura’, son ‘moi profond’.
Un cœur qui ose enfin dire, qui s’exprime et qui donne des ailes à sa pensée comme aurait pu l’écrire Platon.
Mais avec quel modèle pour cette jeune artiste pour que puissent s’ouvrir les fameuses ‘portes temporelles et énergétiques’ ? Son grand-père, Franco-Américain, qui se produisait à l’époque en chantant ses propres compositions là où le vent le menait, recueil que détient précieusement l’enfant des Landes qui pour Papy, plus tard, fera apparaitre telle une fée le morceau ‘Pink Caisse’, enregistré à l’âge seulement de 14 ans.
Vierge est son signe, la part sociale d’Eva que vous reconnaitrez et qui ne peut se nourrir que de vos émotions vibratoires.
Une artiste enfin ulcérée par le bonheur, porteuse d’un univers qui ne parle plus désormais qu’aux seules âmes égarées (comme pouvait être la sienne durant son enfance) mais à toutes celles qui s’identifient à son univers.
N’en déplaise à Victor Hugo, la musique, la sienne, est bien plus qu’un bruit qui pense.