Festival du cinéma Québécois de Biscarrosse, 7ème édition jusqu’à ce dimanche, manifestation sur les rails (comme l’on dit) après le succès de la première projection, celle en l’occurrence du long-métrage de Claude Gagnon (reçu dans ces studios pas plus tard que ce mardi)
Beaux partages et échanges avec le public, l’ADN d’une manifestation qui plaît au programmateur Sylvain Garel, le spécialiste et personnage de cet évènement. Un homme de tête, un érudit charismatique
‘Sept ans, l’âge de raison pour ce Festival qui gagne en popularité, en notoriété et visibilité, même au Québec’, (a ajouté Sylvain Garel), c’est dire…
A ce passionné lors de notre journal régional d’avoir tenté, malgré son devoir de réserve, de nous livrer son (ou ses) coups de cœur, sans prendre de risque, mais en disant toutefois.
A découvrir aussi, partie intégrante de ce Festival, l’expo de Caroline Monnet, Galerie de l’Orme à Biscarrosse. Une autre approche culturelle.
Ce mercredi, c’est le réalisateur Ken Scott qui présentait en avant 1ère sa comédie ‘Au revoir le bonheur’. Il était ici présent dans ces studios ‘Diane Tell’…une autre Québécoise, marraine depuis 1998 d'FGL.
Biscarrosse va-t-elle devenir un Pôle circassien ? Peut-être une suite logique de 'Rue des Etoiles'.
40, oui 40 ans d’amitié et d’échanges (40 comme notre département) entre Pombalins et Biscarrossais.
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