Vive cette ère dite de communication où les nouvelles technologies nous amènent tous, par le biais d’un simple téléphone ou d’un ordinateur, à échanger. A la bonne heure !
Mais voilà, paradoxalement, de nombreuses âmes se sentent isolées et orphelines de tous rapports humains dignes de ce nom, oh la drôle d’époque qui invite chacun à s’identifier et à se numéroter malgré lui. Nous sommes en 2020 dans une réalité qui s’approche de la science-fiction…
Arbitre de rugby landais et ex-responsable commercial, Benoît Escoubet (46 ans) a choisi de vivre sa vie professionnelle différemment en devenant conseiller matrimonial. Son agence, nous a-t-il dit, serait la 2ème de ce genre dans le département, ouverte en avril 2018.
‘Pas de véritable concurrence avec tous les sites disponibles sur le net’ rajoute Benoit qui entend dépoussiérer l’image que peuvent avoir des agences comme la sienne. Il est peut-être temps, sans être désuet, d’accompagner les personnes pour qu’elles en rencontrent d’autres, autrement que derrière un écran.
Alors, comment ça marche pour ce coach qui, lui, n’a rien de virtuel ? A Benoit Escoubet de nous avoir confié qu’il proposait des forfaits de 6 mois à 1 an et que de 5 à 15 personnes seront rencontrées par celle ou celui qui s’inscrit.
Est-ce l’assurance de trouver l’amour et la bonne moitié ? ‘La misère affective s’accompagne’, précise-t-il, sans faux profil, de 30 à 80 ans…en vous rappelant que la Saint Valentin, c’est ce 14 février…
Pour point final à ce reportage avec Benoit Escoubet, vous entendrez une anecdote issue de ses premiers mois d’activité.
Que vivent les âmes dites ‘sœurs’ ! Comme quoi, on ne se refait pas...
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