Quand la musique va, tout va !
C’est l’heure déjà, ces vendredi 29 et samedi30 juillet, à Latécoère Biscarrosse ville, de la seconde édition de ‘My Festival’.
Restent dans cette attente et dans nos oreilles, les notes sucrées du 17ème ‘Jazz in Sanguinet’, celles entre autres du très médiatique André Manoukian, arménien de cœur comme il nous l’a dit. Belle invitation au voyage proposée sous chapiteau comme ‘un bonheur d’être triste’ parfois…
André Manoukian, c’est la position du jazzman : un homme qui à la lecture du passé se projette dans le présent. Un homme aussi d'antenne officiant comme chroniqueur sur une grande radio nationale. Une musique qui rassemble et explique a rajouté Manoukian qui porte un regard sans concession sur les événements actuels...
Rappelons qu’André Manoukian, pianiste français, est aussi membre du jury de l’émission ‘Nouvelle Star’ sur D8, à laquelle il participe depuis 2003.
Autre belle rencontre sur ce Jazz in Sanguinet, celle d’avec le 'Pape de l’harmonica' Jean-Jacques Milteau, qui, ado, naviguait sur le grand lac.
Pour l'harmoniciste, la musique peut apaiser les mœurs, il le croit ferme. Sa carrière, dit-il, il la doit à une bonne étoile qui plane au-dessus de sa tête, en toute modestie.
Et le grand Milteau en a croisé des artistes aux 4 coins du monde, avant de jouer ici, sur le Nord des Landes, à Sanguinet.
Inspirés et marqués notamment par Eddy Mitchell, ou encore Nogaro et Montand qu'il a côtoyés en pleine 'création'. Pour Jean-Jacques, il faut apprendre à être heureux, à se rendre compte que tout va bien et réaliser le bonheur que l’on a, cette absence de malheur…
Que vive Jazz in Sanguinet 2017, pour que de telles rencontres puissent naître, ici derrière nos micros.
'On a testé pour vous' : les échasses avec le groupe folklorique Biscarrossais 'Les Hérons des Lacs'
Coté Beach Volley, Biscarrosse entend peut-être reprendre sa place de 'place forte' de la discipline